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    différence entre enregistrement à bande et digital (numérique)

     
     
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    Modes et registres

     

     

    Registres = sont les différentes configurations laryngés

     

    Modes = Résumé en 4 modes (neutral, curbing, overdrive, edge), sont les différentes couleurs, de timbres qu’on va apporter aux registres. On va jouer sur le débit de l’air, sur la résonnance et plein de paramètres du larynx et de la voix (la forme de l’épiglotte, la position du larynx, La forme de la langue, La forme de la bouche, Position du Voile du palais, l’ouverture et la fermeture des fosses nasales) qui vont changer la sonorité.


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    Les registres vocaux

    (modes vibratoires/mécanismes laryngés)

     

    Mais alors, comment le larynx arrive-t-il à fabriquer différentes couleurs de son ? Il existe différents systèmes ou modes vibratoires, dits mécanismes laryngés qui décrivent les différents configurations laryngés :

     

    Le Mécanisme 0 : Fry ou Strohbass (Extrême grave de la voix)

    Ce son est souvent comparé à un grincement, un craquement ou à un crépitement de la voix.

    Les cordes vocales sont très épaisses, très courtes et très relâchées. Le son est extrêmement grave, plutôt même associé à un bruit, impliquant une grande amplitude vibratoire avec un temps de fermeture des cordes, très court.

     

    Le mécanisme 1, mécanisme lourd ou registre modal

    Ce mécanisme est surnommé le plus souvent par les chanteurs, « voix de poitrine » ou « voix pleine ». Le timbre est riche en harmoniques, les cordes vocales sont épaisses et courtes, et la totalité de la masse musculaire entre en vibration.

     

    Le mécanisme 2 : mécanisme léger

    Ce mécanisme est appelé le plus souvent par les chanteurs « voix de tête ou falsetto/voix de fausset ». Les cordes sont longues et fines.

     

    Le mécanisme 3 : Voix de sifflet (Extrême aigu de la voix)

    Il existe encore, à ce jour, des études en cours sur la voix du sifflet et le flageolet, qui seraient des mécanismes laryngés très différents. Le flageolet serait la continuité du mécanisme 2, c’est-à-dire, la partie suraigüe du mécanisme léger, avec une vibration très rapide des cordes et une très faible amplitude du mouvement, le ligament vocal très tendu et une compression forte entre les cordes vocales. Le sifflet entrerait dans une autre « mécanique » laryngée, avec adduction des cordes vocales sans vibration, mais avec une fuite d’air en arrière des apophyses vocales, au niveau de la zone inter-aryténoïdienne. Cette fine fuite d’air permettrait de fabriquer la voix de sifflet.

     

    Résumé entre le registre 1 et le registre 2 :

    En registre de poitrine (mécanisme lourd), seul le muscle vocal est en action tandis que le ligament vocal est au repos. Lors du changement de registre en mécanisme de tête (mécanisme léger), le muscle vocal, thyro aryténoïdien, va se détendre, pour laisser un autre groupe musculaire prendre le relais (crico-thyroidien), entrainant la bascule du cartilage thyroïde, provoquant la tension du ligament vocal.

    Les registres vocaux

     

    Qu’en est-il de la voix mixte ?

    La voix mixte est le fait d’homogénéiser le timbre de la voix, sur toute l’étendue vocale. Il ne s’agit donc pas d’un nouveau mécanisme vibratoire laryngé. La voix mixte n’est donc qu’une adaptation résonantielle et formantique lors du changement de registre laryngé, qui permettra au chanteur de garder la même texture timbrale sur toute son étendue vocale.


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    3 principes fondamentaux

     

    1. Soutien

    3 principes fondamentauxLe soutien consiste à lutter contre la tendance naturelle du diaphragme à relâcher l’air inspiré. Il s’agit de créer une résistance contre ce mouvement. Lorsqu’on chante, les muscles de la taille et du plexus solaire poussent vers l’extérieur, alors que ceux de l’abdomen autour du nombril se resserrent dans un mouvement graduel et constant. Pendant ce temps, les muscles du dos se contractent également. Les muscles lombaires cherchent à faire basculer le bassin vers l’arrière pendant que les abdominaux tentent de le relever. L’opposition entre ces deux groupes de muscles constitue une part importante du soutien. Ce mouvement de soutien doit être ferme et continu. On a ainsi l’impression de travailler contre une résistance pendant toute la durée du son. Si le mouvement n’est pas constant, par exemple si on n’arrive plus à pousser les muscles de l’abdomen autour du nombril vers l’intérieur ou les muscles de la taille ou du plexus solaire vers l’extérieur, c’est qu’il n’y a généralement plus de soutien. Il est important de conserver l’énergie et de ne pas l’utiliser inutilement ou prématurément. Aussi doit-on éviter d’employer le soutien s’il n’est pas nécessaire. Mieux vaut attendre que les notes soient plus difficiles pour l’utiliser, comme sur les notes aiguës ou les fins de phrases plus longues. Le soutien est très exigeant et requiert une bonne forme physique.

     

    2. Pincement « twang » nécessaire

    3 principes fondamentauxLa région située au-dessus des cordes vocales a la forme d’un entonnoir ou d’un cornet. Je l’ai nommé l’entonnoir sousépiglottique. Lorsqu’on pince l’entonnoir, on réduit son ouverture en rapprochant les cartilages aryténoïdiens de la partie inférieure de l’épiglotte (pétiole). On obtient ainsi un son plus tranchant et non voilé, ce qui permet aussi d’en augmenter la puissance. Une bonne technique vocale exige toujours un certain degré de pincement. De cette façon, la voix est libre de tensions, peu importent le mode, la couleur de son et l’effet utilisé. Le pincement « twang » nécessaire de l’entonnoir sous-épiglottique permet de façon générale, de chanter plus facilement. Dans bien des cas, on ne perçoit pas du tout ce pincement à l’écoute.

     

    3. Éviter d’avancer la mâchoire et de crisper les lèvres

    3 principes fondamentauxDes tensions aux lèvres et une mâchoire inférieure avancée peuvent provoquer des constrictions autour des cordes vocales. Pour détendre la mâchoire, on penche la tête vers l’arrière et on pose un doigt à la verticale entre les deux mâchoires. On garde la mâchoire dans cette position en chantant. La mâchoire inférieure devrait être plus à l’intérieur que la mâchoire supérieure. On fait en sorte que l’ouverture de la bouche soit plus large durant les notes aiguës et graves que durant les notes du registre moyen.

    Tout en évitant de crisper les lèvres, il est primordial de bien former les voyelles avec la langue, en modifiant au minimum la forme de la bouche. Cependant, la formation des consonnes nécessite souvent une tension aux lèvres et un rétrécissement du conduit vocal. Mais puisqu’en chantant les consonnes sont de courte durée, elles ne portent pas entrave à la voix. Il est toutefois important de relâcher immédiatement la tension lorsqu’on passe d’une consonne à une voyelle.

     


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    _Degré_

     

    Pour les degrés : faut qu'on tombe sur un nom de note juste.

    Ex : en majeur pour dire si → on dit si maj (et pas si)

    Ex : en mineur pour dire si mineur → on dit si min

     


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